Budget primitif 2008 : mon intervention lors de l'Assemblée Départementale du 28 janvier 2008.

Le vote du budget primitif en début d’année est un acte important de la vie d’une collectivité. Il oriente, en lui donnant les moyens financiers de réalisation des actions de l'année à venir. L'adoption de ce budget donne corps aux volonté concrètes des élus. Voici les termes de mon intervention à cette occasion :

« Je voudrais donner mon avis sur le budget primitif 2008 du département.

1)       d’abord je voterai le budget primitif 2008. pour vous en expliquer les raisons, je ne vous accablerai pas de chiffres.
- parce qu’il ne comporte pas d’augmentation de la pression fiscale
- parce qu’il traduit le respect des engagements et la continuation de Politiques et de projets à la fois ambitieux et réalistes.

2)       Ce budget est en nette augmentation de recettes (et en équilibre évidemment) : 5,7% soit une augmentation de 47 Millions d’euros) afin de faire face à nos obligations et ce malgré les difficultés résultant des transferts de charges pas toujours compensés par les transferts de moyens correspondant de la part de l’Etat (exemple de l’APA cité par Francis CHOUAT)

3)       Le Conseil général a entrepris une politique de suivi strict de ses dépenses grâce à l’action notamment sous la responsabilité de Michel BERSON, Président du Conseil général de l’Essonne, sous la responsabilité de Francis CHOUAT, Vice Président rapporteur du budget et chargé des finances sans oublier Jean-Loup ENGLANDER, Président de la Commission des finances, et les services du Département ; leur action conjointe ayant aboutit à conserver notre capacité d’action.

4)       Je formulerai un vœu pour l’avenir : que l’on contienne la pression fiscale dans les prochaines années, pour une grande attention au secteur « dépenses » pour nos politiques. Et que la pression fiscale ne progresse que si le désengagement de l’Etat se poursuivait , situant ainsi les responsabilités.

Je vous remercie.

Paul SIMON

Conseiller général de l’Essonne

Président de la 3^ème Commission ».